Nous tenons à réagir suite à un évènement fâcheux qui est survenu le 06 Avril dernier relayé par la revue de presse Al Akhbar au Maroc. Je cite
Cet article aborde un problème important dans l’industrie de la pêche maritime au Maroc, en particulier dans les ports du sud du pays, Cette décision nous amène à plusieurs réflexions :
- Contraintes réglementaires
- Problème de surpêche
- Entente entre les professionnels du secteur
- Demande de révision des normes
En somme une nouvelle réflexion sur notre responsabilité collective en qualité d’acteurs du secteur, notamment face aux défis liés à la pauvreté et à la famine.
Le besoin d’une réponse ferme, collective et adaptée à ces situations
Dans notre monde contemporain, où la faim et la précarité sont des réalités pour des millions de personnes, le gaspillage alimentaire sous toutes ses formes est non seulement choquant, mais également moralement répréhensible. Récemment, une pratique particulièrement scandaleuse a été mise en lumière : le rejet en mer de quantités massives de nourriture, notamment de poissons, sous prétexte de non-conformité aux normes commerciales. Cette action, aussi absurde qu’inexcusable, soulève des questions éthiques, économiques et écologiques profondes qui méritent d’être explorées et dénoncées.
Gaspillage alimentaire en mer : une tragédie humaine et écologique :
La récente révélation selon laquelle des quantités importantes de poissons sont rejetées en mer par des pêcheurs au lieu d’être utilisées à des fins alimentaires est tout simplement révoltante. L’idée que des tonnes de nourriture puissent être jetées à l’eau alors que des millions de personnes souffrent de la faim est difficilement concevable. De plus, cette pratique non seulement néglige les besoins humains les plus élémentaires, mais elle porte également un préjudice irréparable à l’écosystème marin fragile.
Une alternative négligée : la redistribution aux nécessiteux :
Face à cette situation choquante, une alternative évidente mais souvent négligée émerge : la redistribution des poissons rejetés aux personnes dans le besoin. Au lieu de gaspiller ces ressources précieuses, les autorités pourraient confisquer les cargaisons des pêcheurs en infraction et les redistribuer aux organisations caritatives qui luttent contre la faim. Cette approche non seulement réduirait le gaspillage alimentaire, mais elle permettrait également de répondre aux besoins urgents des populations vulnérables.
L’absurdité de la logique derrière le gaspillage :
Il est crucial de souligner que le gaspillage alimentaire en mer ne repose sur aucune logique rationnelle. L’idée selon laquelle des poissons de petite taille ou non conformes aux normes commerciales devraient être jetés à l’eau au lieu d’être utilisés à des fins alimentaires est absurde et inacceptable. Cette pratique révèle une faille profonde dans notre système économique et réglementaire, où les intérêts financiers sont placés au-dessus de la dignité humaine et de la préservation de l’environnement.
Pour conclure
Le scandale du gaspillage des ressources marines est une tragédie à tous égards. Non seulement elle perpétue la faim et la précarité, mais elle dégrade également notre environnement naturel déjà fragile. Il est impératif que les autorités prennent des mesures immédiates pour mettre fin à cette pratique inhumaine et absurde. La redistribution des poissons rejetés aux personnes dans le besoin est une solution évidente et nécessaire. En définitive, nous devons tous nous engager à lutter contre le gaspillage alimentaire sous toutes ses formes, afin de construire un avenir plus juste, durable et humain.